De par son origine, Jürgen Clauss aurait pu être amoureux de Porsche, de Mercedes ou de BMW, mais c’est Alpine qui l’a choisi comme il se plaît à le repéter. Dans son Alpine-Lab, un garage-laboratoire, l’orfèvre restaurateur s’applique depuis trente ans à ressusciter les modèles de course cultes de la marque. Son intention était de créer une plateforme pour les puristes, les amis et les amoureux de l’Alpine A110, qui ont aussi dû succomber à la fascination et à l’attraction de cette voiture de course française, ou ceux qui sont encore sur le point de le faire. ‘‘
A l’affût de toute information technique et historique lui permettant de mieux explorer les entrailles des ‘‘Alpine“, Jürgen Clauss cherche à redonner le lustre et le charme authentique des grandes époques à ses voitures sans se dévoyer de la pensée du fondateur Jean Rédélé. Dans sa collection, les amateurs pourront s‘extaser devant l’Alpine 1100 Tour de France, un modèle lancé en 1965, à la carrosserie blanche et aux lignes chromée.
Dans cet entretien accordé au Magazine Gentlemen Drivers, Jürgen Clauss revient sur les moments clés de sa relation viscérale avec l’Alpine pour laquelle il éprouve une passion dévorante qui ne s’est pas étiolé avec les années.
50,00د.م.