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Jacky Berenger

DÉCOUVREZ L’HISTOIRE CAPTIVANTE EN PDF

Jacques Berenger savoure la vie avec panache, au point qu’il est difficile d’imaginer que le personnage affiche déjà 80 berges au compteur. Une vie très riche, partagée entre la gestion du business familial et les plaisirs de la vie, qui ont fait de lui un épicurien convaincu. Son amour pour la compétition automobile a fait de lui une des plus illustres figures de la discipline au Maroc. Ces victoires en monoplace et en courses de voitures de tourisme en attestent. Cependant, Berenger, qui est assoiffé de vitesse et d’adrénaline, n’en reste pas là, préférant explorer d’autres sphères où les sensations fortes font la loi. À commencer par l’aviation, où il peaufine ses talents d’acrobate, en passant par la moto, qu’il pratique depuis sa tendre jeunesse et en terminant par le surf, auquel il voue un vrai culte, jusqu’à aujourd’hui. Pour partager une vie si riche en péripéties et en rebondissements, notre vieux briscard a accepté d’ouvrir son jardin secret aux lecteurs de Gentlemen.

Racontez-nous vos débuts avec l’automobile ?

En 1946, ma mère était propriétaire d’une Ford et à 13 ans, j’ai commencé à conduire. J’ai passé mon permis à 18 ans, malgré l’opposition de l’examinateur, qui m’a fait réaliser deux démarrages en côte et qui est resté bouche bée devant ma technique.

L’histoire de votre première voiture ?

À la sortie de l’armée, j’ai rejoint l’entreprise familiale et mes premières économies m’ont permis l’achat d’une MG TC d’occasion. C’était une ravissante petite décapotable, qu’un Américain de Nouaceur m’a cédée en parfait état. Cela a été ma première histoire avec les automobiles. Sa revente en 1959 m’a permis d’acquérir ma première voiture neuve, la MG A. La course à la vitesse était lancée. J’ai gardé également un souvenir impérissable de la Jaguar Type E qui m’a fasciné, mais avec laquelle j’ai eu des mésaventures qui ont précipité notre divorce. Pour me payer la belle, j’ai vendu ma XK 150 à laquelle je tenais pourtant beaucoup. Mais à la livraison, je n’étais pas déçu, car la Type E était magnifique avec son ton gris bleu, son long capot en forme requin, ses roues à rayon avec papillon et son intérieur comme un cockpit d’avion. Le premier incident est survenu la nuit, alors que je roulais sur une route du sud de l’Espagne : la roue avant droite s’est détachée, arrachant une partie du capot au passage. Je suis parvenu à garder la voiture sur trois roues et à stopper dans une gerbe d’étincelles. À mon retour au Maroc, j’ai demandé un dédommagement à Jaguar, qui a refusé. Trois mois après sur la route de Marrakech, le même problème s’est reproduit, mais cette fois-ci j’ai arrêté à temps et j’ai fait prévenir l’atelier qui m’a envoyé un camion de dépannage. Nous avons trouvé les roulements de la fusée gauche sans la moindre trace de graisse et déjà bleus. Jaguar a reconnu finalement sa responsabilité dans l’avarie et a pris à sa charge l’ensemble des frais, mais mon regard sur cette voiture avait changé.

Qu’en est-il de votre passion pour le pilotage d’avion ?

Rien de particulier ne me prédestinait à piloter un avion. Début 1956, j’ai découvert l’aéroport de Tit Mellil et l’aviation de tourisme en accompagnant un ami qui envisageait d’apprendre à piloter. J’ai progressé rapidement dans mon apprentissage et obtenu mon premier et second degré en 20 heures de vol. C’est le chef pilote Nedelec (ancien leader de la patrouille de France) qui m’a fait découvrir la voltige avec le Stampe F-BDKN, un biplan anglais que nous pilotions assis sur un parachute et la tête en l’air.

J’adoraiS ce pilotage très complexe et prenais du plaisir à décomposer les figures aériennes jusqu’à l’atterrissage, que je signais à ma manière en arrivant queue haute, puis en posant la roue gauche puis la droite et enfin la roulette arrière, malgré les hurlements du chef pilote qui estimait que la piste était trop courte pour de pareilles acrobaties ! Un jour, j’ai crashé avec un avion agricole. J’étais couvert de branchages, car la verrière avait volé en éclats quand j’étais passé dans les arbres sous la ligne électrique. Mes RayBan étaient toujours sur mon nez, mais le verre gauche s’était planté dans mon sourcil. À part ça, j’étais entier !

J’ai très souvent repensé à cet accident et ma cicatrice de l’arcade sourcilière se chargeait aussi de me le rappeler, chaque fois que je me rasais. L’année d’après, j’ai commencé à souffrir du dos et on s’est aperçu que j’avais une vertèbre brisée en deux. Cela n’a pas entamé pour autant ma passion pour les avions et en décembre 1958, j’ai débarqué à New Work pour un stage de trois mois à l’issue duquel j’ai obtenu mon diplôme américain de vol VFR Pendant cette période j’ai convoyé 53 mono moteurs et 4 bi moteurs sur le trajet Bruxelles/ Casablanca, tous de marque Cessna. Mes obligations professionnelles m’ont obligé à me consacrer à plein temps à l’entreprise et j’ai abandonné la commercialisation du Cessna au Maroc ! En fait, je n’arrivais plus à tout mener de front. Il faut avouer que l’aviation de tourisme est un moyen de transport rapide pour le gens qui ne sont pas pressés.

Comment s’est déroulé votre périple africain ?

C’était un coup de chauffe. Fraîchement mariés, nous avions décidé mon ami et moi de faire découvrir l’Afrique à nos épouses. Que dire après plus de 4.000 heures passées au volant d’une voiture qui ignore complètement la notion de confort ? Nous avons parcouru un itinéraire à la fois exigeant et risqué : Casa-Figuig, Béchar, Reggane, Aïn Salah, Tamanrasset, Niamey, Cotonou, Lagos, Bénin City, Douala, Yaoundé, Bouar et Bangui. Je garde toujours en mémoire quelques épisodes qui m’ont marqué durant ce périple. D’abord, la réaction de Catherine (épouse de mon ami) qui nous a sauvé la vie quand trois pillards nous ont braqués avec leur kalachnikov. Et cette bouteille de Ricard que nous trimballions depuis Casablanca quia détourné l’attention des trois apaches et qui nous a permis de filer. Depuis cette date, je me tape tous les dimanches un Ricard en apéritif (rires…). La forêt d’arbres pétrifiés soigneusement couchés au sol dans un ordre parfait au milieu du Hoggar. La base de Reggane : c’est une ville fantôme, après son abandon par l’armée française qui y réalisait les essais nucléaires. Nous avons longuement parcouru cette base où rien n’a bougé : outils sur les étables, essence dans les jerricans, et savons dans les toilettes ! La rencontre avec un homme qui marchait dans le désert du Ténéré et qui avait une gourde de flotte au bout d’un bâton. On lui a rempli sa gourde et on lui a proposé de monter dans la voiture, mais il a refusé. Le nuage de moustiques sur la lagune de Gauvier. Il nous a caché le soleil pendant quelques instants. Et enfin, le Nigéria, qui sortait tout juste de sa guerre et de son génocide au Biafra ! Pendant la traversée du Nigéria, on recontrait des maisons trouées de partout, des chars brûlés. Un paysage apocalyptique ! À Bangui, nous avons pris l’avion et nous sommes rentrés au bercail.

Nous sommes sortis vivants de cette aventure et c’est aujourd’hui mon seul souvenir marquant.

Parlez-nous de votre palmarès en sport automobile ?

Entre 1965 et 1970, j’ai couru sur Racer Cooper, ce qui m’a permis de maîtriser le contre braquage. Je suis passé ensuite à l’Alpine A110, avec laquelle j’ai gagné quelques circuits, tels que Marrakech et Mohammédia.

J’ai établi le record de la côte des Sehouls avec ma Jaguar Type E et j’ai ensuite acheté la F3 Brabham BT 28 en novembre 1969. À partir de cette date, j’ai pratiquement écrasé la concurrence. Mes adversaires les plus sérieux étaient dans l’ordre Lassus sur Tecno, Geeraerts sur Lotus et Lueli sur Brabham. Tony Ré était capable du meilleur comme du pire, puisqu’il battait le record du tour avant de sortir au tour suivant. De Sanctis avait la meilleure voiture, mais pas la finesse de conduite et Alfano Dumans et Fete avaient des mécaniques incapables de rivaliser avec les nôtres. J’ai empoché le championnat du Maroc 1970 et celui de 1971.

Celui de 1972 a tourné court, alors que j’étais encore en tête et la F3 a disparu des circuits marocains, faute de concurrents et de circuits. Je garde en mémoire une anecdote dont je me souviens à chaque fois avec plaisir. C’était une passe d’armes que j’ai eu avec Gearerts lors d’une course à l’issue de laquelle je suis sorti vainqueur après avoir éperonné la voiture de mon rival. Je suis passé devant le conseil de discipline. Je leur ai dit : « Messieurs, c’est bien simple. Je pars dernier, je remonte dix ou douze voitures, je fais six tours avec le nez de ma voiture au contact de celle de Geeraerts qui zigzague dans les zones de freinage devant moi pour me bloquer le passage. Le commissaire Mr Ré lui agite le drapeau bleu, mais M. Gearerts n’obtempère pas. Au dernier tour, j’ai le pied qui glisse de ma pédale de frein, je lui fais une petite ʺtouchetteʺ, mais je suis plus rapide que ce monsieur, j’ai battu quatre fois le record du tour. M. Geeraerts a donc une cause indéfendable. Et quand deux balaises de 110 kg viennent taper un petit jeune comme moi, comment voulez-vous que je réagisse ? Je me suis énervé et j’ai tapé monsieur Geeraerts avec mon casque et là aussi, je m’en excuse ». Il s’en est suivi la disqualification de mon rival du jour. Après, je suis parti voir les pilotes en leur disant qu’un homme averti en valait deux et que si jamais ils s’apercevaient que j’étais plus rapide qu’eux, il fallait qu’ils m’ouvrent la voie.

En 1975, j’ai fait l’acquisition d’une Porsche Carrera RS 2.8 que j’ai transformée en GT et je sui devenu de nouveau champion du Maroc GT en 1976 et cela a été ma dernière participation aux épreuves marocaines. C’était sur le circuit d’Agadir et j’ai poussé à la faute Carlo Geeraerts sur sa Porsche d’usine. Je lui ai tellement mis la pression qu’il a trop tiré sur les freins, qui l’ont lâché. Avec Charles Geeraerts, nous avons couru en Europe toutes les épreuves d’endurance de 6 heures, au volant d’une Alpina, dans les années 78 et 79. Ces épreuves étaient extrêmement relevées, avec des pilotes comme Jacky Ickx, Schlesser….

Nous nous retrouvions à plus de 40 voitures aux essais, avec un maximum de 25 autorisées au départ. Inutile de vous dire que les essais étaient chauds. Sur douze participations, nous avons réussi à prendre 11 départs. Seul le Mugello nous a échappé, faute de pneus pluie ce jour là.

Notre meilleur résultat a été une place de sixièmes à Zolder en Belgique. Ce circuit était mon préféré, avec Brand Hatch en Angleterre. En 1981, à la demande de Carlos, nous avons participé aux 24 heures de Zolder et nous avons pris la tête de la course sur une BMW Alpina, lorsqu’à la sortie des stands, une biellette de direction a cassé et ruiné nos espoirs de victoire. Depuis cette date, j’ai abandonné les courses et c’est au volant de grosses motos que je me shoote à l’adrénaline.

Participer à des courses en Europe suppose des moyens conséquents…

Nous avons acheté une BMW au Team BMW Junior grâce à Charles Geeraerts qui était concessionnaire de la marque pour la Belgique. Notre voiture était préparée à Annemasse (78-79), avec un camion atelier à notre disposition. On avait deux moteurs : un pour les qualifications et l’autre pour la compétition. On n’a jamais pu faire mieux que la sixième place. On avait à chaque fois des primes qui nous aidaient à couvrir une partie des frais. Les deux premières années se sont passées sans encombre, la troisième année marquait l’avènement des pneus slick. Il fallait quatre pneus pour faire trois tours de qualification. On a donc arrêté les courses parce que le budget pneus dépassait nos moyens financiers.

Qu’en est-il de votre passion pour la pêche ?

Cela n’aura été qu’un passe-temps agréable et après le naufrage dans les déferlantes, je suis passé à autre chose. Le 15 août 1969, je suis parti avec une bande de copains pour pêcher dans les hauts fonds qui jalonnent la côte entre le Cap blanc et Oualidia à bord d’un hor- bord en V avec un moteur Mercury 120 cv. C’est une pêche dangereuse, qui demande du sangfroid, des réflexes et une connaissance parfaite de la mer et surtout des déferlantes qui défendent les sites. Nous filions au nord en direction du Cap Blanc et dès le premier passage, nous avons sorti un monstre de 5 kg, ce qui nous a incités à refaire un passage malgré la taille des vagues. C’est là qu’une vague de la taille d’un immeuble nous tombe dessus, nous soulève et nous culbute par l’avant. Nous étions finalement obligés de rentrer à la nage et sans l’aide de deux pêcheurs marocains qui se sont mis à l’eau et nous ont sortis dans les derniers mètres, je ne suis pas certain que nous serions parvenus à prendre pied, le ressac et la pente de la plage étant impressionnants. Cet incident m’a dissuadé de reprendre contact avec la traîne, les bateaux et la brise !

Pourquoi avez-vous été séduit par le surf ? Pour moi c’est l’aboutissement logique de ce que j’ai toujours aimé. C’est-à-dire la vitesse. En effet, dans la vitesse, il y a plusieurs éléments qui se conjuguent : la courbe, la glisse et la conduite avec le plaisir que cela produit de sortir en force. Le surf regroupe tout ça et en prime, nous exploitons la puissance de la vague avec un simple morceau de plastique et notre seule force mentale et physique. Avec ma fille, nous avons fait des déposes en hélicoptère, nous sommes partis au Canada surfer. J’ai découvert ce sport à l’âge de 48 ans et je m’y accroche depuis comme un fou.

Quelles sont les voitures que vous auriez aimé acquérir ?

J’ai acheté les voitures qui me faisaient rêver, c’est-àdire capables de rouler très vite sur route et par tous les temps. Je garde en mémoire toutes les Jaguar XK 150 entre 1964 et 67, l’Alpine A 110 entre 69 et 70, la Porsche Carrera RS 73/75, la BMW 2002 Ti Turbo, la seule au Maroc acquise par le palais en 1979 et qui roule toujours à Casablanca. J’ai également acquis d’autres sportives de renom, telles que la BMW 323 Alpina en 1995, la M3 en 1998, l’Audi S3 en 2002, l’Audi S4 en 2005 et enfin la 911, ultime maillon d’une longue série. Pour moi, la voiture que j’aime doit être capable de quitter Casa à 16 h et d’embarquer à Tanger à 20 h pour me déposer à Tarifa 1heure plus tard. À partir de là, je file sans interruption jusqu’à Biarritz où j’arrive pour le petit déjeuner après deux arrêts pour me reposer. Et je fais ça régulièrement plusieurs fois par an depuis 1990.

Que pensez vous de la course automobile au Maroc, à l’époque et aujourd’hui ?

Rouler à plus de 150 km/h au raz des trottoirs et sur les revêtements la plupart du temps totalement inadaptés relève de la bêtise. Pour mémoire, sur le circuit de la corniche ma vitesse de pointe était de 190 km/h à 9700 tr/mn avec la BT 28. Je descendais en seconde pour virer à gauche à 90/ 100 km/h avant de repartir vers le café de Paris et le phare et de reprendre la longue droite en montée. Je passe sous silence les bottes de paille qui ne servent à rien sinon de tremplin et le public à l’abri derrière une corde qui traverse tranquillement quand ce n’est pas un chien. Lors de la course internationale de Casablanca où participaient des Alpine A110 qui faisaient les 24 Heures du Mans, j’ai percuté un chien avec mon Alpine A110 jaune alors que j’étais en tête de ma catégorie. Le radiateur d’huile est rentré dans la cabine avec le chien.

La fédération marocaine à l’époque était au dessous de tout. Aujourd’hui, ce n’est pas mieux. Il n’y a toujours pas de circuit. Les voitures actuelles sont très véloces, une petite Clio développe 200 canassons, ce qui accentue les risques pour les pilotes et les spectateurs. Les circuits en ville ne sont pas adaptés. Remercions la chance pour le peu de morts à déplorer… il faut croire que le plaisir de courir est suffisamment fort pour nous pousser à braver les risques.

Que pensez-vous du circuit de Marrakech ?

Je suis partie prenante moralement de ce circuit, puisque le constructeur de ce circuit, Mohamed Zahid, est un de mes meilleurs clients sur Marrakech. Je lui ai vendu des installations de concassage. Ce n’est pas un circuit de vitesse, avec ses deux lignes droites et ses chicanes artificielles. Le plaisir, c’est de prendre les courbes à fond. D’ailleurs, ça se voit qu’il n’y a pas d’engouement et que la majorité du public est invitée. En plus, il n’y a qu’un pilote marocain. S’il y en avait dix, s’il y avait des compétitions cinq ou six fois par an, le public s’y mettrait. Mais là, monsieur Muller ou Tarquini, ça ne leur dit rien. En plus, les voitures font du bruit, mais je trouve qu’elles ne sont pas représentatives d’une voiture de course.

Et votre passion pour les motos ?

Toute ma vie j’ai conduit des motos. Pour moi, la moto c’est la glisse, c’est l’adrénaline ! En 1974, j’ai eu mon premier accident : fracture ouverte de la clavicule au guidon d’une Honda 750n, que j’ai troquée contre une Triumph. Moi et mes amis nous avons bazardé toutes nos motos pour acheter la belle japonaise. Je suis un accro des deux roues. Tous les quatre ans, je changeais de moto. Ainsi, j’ai eu toutes les belles marques y compris une Daytona 675.

Actuellement, je roule en Honda CBR 1000 Repsol au Maroc. Et en France, je dispose d’une des plus puissantes motos du marché actuellement : la Kawasaki ZX 10R de 200 ch. Quel est le secret de votre fraîcheur physique à 80 ans ? Je ne fume pas et je bois avec modération. Jusqu’à l’âge de 75 ans, j’ai travaillé 10 à 12 heures tous les jours quand ce n’est pas plus. Et enfin j’ai une femme qui s’occupe très bien de moi.

Avez-vous transmis votre passion à vos enfants ?

Mon fils a pris le côté calme de sa mère et le côté bosseur de son père. Ma fille a pris le côté vitesse et glisse de son père. Toute la famille pratique le ski et le snow-board.

 

Biographie

Né le 26/8/1933 à Casablanca
1952/1953 : 15e BCA en Autriche
1953/1954 : 14e BCA à la frontière algéro-tunisienne
Première voiture MG TC en 1955
Licence de pilote d’avion 1er et 2 février 1956
Marié depuis 1969 avec Gisèle et père de deux enfants
Compétition automobile au Maroc de 1968 à 1977
Champion du Maroc F3 1970 et 1971
Champion du Maroc G5 1976 et 1977
Compétition automobile en Europe 1979 à 1980
Douze épreuves d’endurance de six heures sur BMW Silhouette avec Charles
Geeraerts : circuits de Dijon, Brand Hatch, Zolder, Mugello, Silverstone et
Vallelunga
Découverte du surf en 1981, sport qu’il pratique encore aujourd’hui
DG de l’entreprise familiale Etablissements L.Berenger de 1960 à 2007
Pratique régulièrement la moto depuis 1956 à ce jour, toujours avec des sportives
et supersportives : roule aujourd’hui en Honda CBR 1000 Repsol et la Kawasaki ZX 10R.

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