Vivo Energy, qui commercialise et distribue les carburants et lubrifiants de Shell en Afrique, et Visa, la société mondiale de technologie de paiement, viennent de signer un accord panafricain pour fournir des services de paiement numérique aux consommateurs dans 15 pays où les deux entreprises sont présentes.
Cet accord a été signé dans le but de développer le commerce numérique. Concrètement il s’agit d’offrir à sa clientèle, dans les 15 pays africains, davantage de points qui acceptent les paiements par carte Visa, que ce soit les stations-service ou les boutiques du réseau
Shell de Vivo Energy.
M. David Mureithi, Vice-Président Exécutif de Vivo Energy, a déclaré : «Vivo Energy et Visa partagent le même objectif, à savoir aider les consommateurs à effectuer leurs paiements en toute confiance, en toute transparence et en toute sécurité. Ce partenariat s’inscrit dans notre stratégie globale visant à proposer des solutions innovantes et pratiques à nos clients, afin de développer une relation durable avec eux. A travers cette alliance avec Visa, nous souhaitons élargir la gamme de services que nous proposons à nos clients et leur permettre
également d’effectuer leurs paiements de manière simple et facile dans nos stations-service Shell. »
Aida Diarra, présidente de Visa pour l’Afrique subsaharienne, a déclaré : «Nous nous efforçons constamment de réduire la dépendance aux espèces et d’encourager le développement d’un écosystème de paiement numérique tant pour les particuliers que pour les entreprises. Notre partenariat avec Vivo Energy correspond au type de collaboration que nous recherchons – celles qui nous aideront à étendre notre portée dans l’écosystème commercial africain à mesure qu’il évolue et se développe, et qui créeront des opportunités commerciales mutuellement bénéfiques. »
Selon Vivo Energy, grâce aux transactions numériques sa clientèle pourra mieux contrôler et surveiller ses dépenses au moment du passage par les stations-service Shell.
Cette initiative stimulera l’adoption du paiement sans espèces qui représente pour le moment 20% seulement des transactions en boutiques.